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$date = "2011-01-29 00:00:00"; $date_redac = "2011-01-29 00:00:00"; ?> 29 janvier 2011 if ($date_redac != $date) { ?> - 29 janvier 2011 } ?>Lyon : Débat à la librairie La Gryffe
Samedi 29 janvier 2011 à 15 heures En s’appuyant sur plus de quarante années d’observation et d’analyse critiques des réalités urbaines, J-P Garnier montre dans son livre comment la gestion politique des villes nourrit les appétits économiques de la bourgeoisie désormais « mondialisée » et les aspirations culturelles des néo petits-bourgeois. Cette contre-révolution urbaine a de nombreux symptômes : « violences urbaines », « crise du logement », « relégation » sont les plus médiatisés. En parallèle, les « politiques de la Ville », de plus en plus sécuritaires, destinées à masquer ces symptômes sont un échec. Cette situation durera tant que l’on ne reconnaîtra pas la nature du conflit fondamental qui oppose les citadins ordinaires à ceux pour qui l’espace urbain est une source de profit, sinon de valorisation de leur capital culturel. La question urbaine cache en fait la question sociale qui oppose les dépossédés du droit à la ville (droit à la centralité urbaine, droit à l’appropriation de l’espace urbain) à ceux qui se la sont appropriée. Dans cette optique, les émeutes de novembre 2005 sont ainsi un mouvement de réaction et de résistance face aux multiples violences subies. |
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