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Permanence des ressources et revenu garanti - Partager et transmettre

« Il ne s’agit pas de craindre ou d’espérer, mais de chercher des nouvelles armes »... Deleuze a exprimé ce bon sens matérialiste : n’existe que ce qui est produit, n’est trouvé que ce qui est cherché. Evident à la lecture... mais pour l’appliquer c’est une autre paire de manche. Au lieu de déprimer ou d’attendre la venue du paradis rouge & noir sur terre, cette vérité est toujours bonne à rappeler : la balle est dans chaque camp, dans le vôtre comme dans le nôtre. Nous avons, chacun et chacune, des marges de libertés, des responsabilités dans ce que nous vivons. C’est nous qui décidons d’une partie de ce qui se produit, voir de beaucoup de choses, dans les situations que nous vivons, à chaque intersection, AG, journée, luttes, soirées, textes.

Ne le répétez pas, c’est un secret, mais nous sommes plus forts que le capitalisme. Il faut que ce système déploie des milliards d’heures de travail cumulées et des milliards de brouzoufes en investissement pour capter l’attention du chaland et vendre sa camelote. Pour nous il suffit d’un instant, d’une mobilisation intense ou intime, pour changer chaque situation que l’on vit. Et multiplier ses effets par la socialisation d’une partie de nos territoires, c’est à dire : le collectif. Encore faut-il le vouloir. Nous sommes toutes et tous des mages maladroits ; avec nos vies bien territorialisées, nos habitudes militantes dans nos petits milieux. Allons nous en déborder ? Allons nous réinvestir l’espace public, travailler collectivement sur des projets, sur la mémoire militante, sur des propositions concrètes et lisibles  ? Allons-nous mieux coopérer dans nos collectifs et réseaux ? En un mot, allons nous être moins cons ? Osons le dire : nous perdons beaucoup de temps dans des interrogations et des conflits stériles, alors qu’une vie, c’est court, et que nous ferions mieux d’être constructif pour avoir un minimum de choses à regretter en fin de parcours. C’est chacun d’entre nous qui le décidons, soit tourner en rond pendant des années, soit faire l’effort du collectif et de la convergence des luttes.

Pour pouvoir accumuler du profit, le capitalisme a besoin de nouveauté et de l’oubli de l’ancien. Pour le contrer nous devons donner ce qu’il ne pourra jamais vendre : c’est à dire un sens à nos vies et nos luttes. Ce sens existe, il s’agit de l’extraire et de le rendre lisible. C’est, en partie, l’objet de ce dossier. La permanence des ressources se décline ainsi sur trois axes :

- développer et porter des revendications sociales contre le capitalisme, tel que le revenu garanti et la gratuité des services, qui fasse accepter l’idée d’une déconnexion entre les revenus et l’emploi. Ce dossier détaille ces revendications.

- rendre lisible des ressources qui existent déjà et dont nous avons peu, ou pas, conscience, ou qui ne sont pas utilisées ou efficientes. Pour se faire, nous étudierons les raisons de ce blocage via la lecture d’une théorie des territoires qui est propre aux militants de No Pacharan.

- socialiser nos ressources c’est à dire renforcer nos collectifs avec ce que Marx appeler le general intellect.

Que personne ne s’y trompe. Nous ne proposons pas le partage de la misère. Ni le remplacement de l’Etat Providence par des bricolages autogérés qui nécessitent dix fois plus de travail. La permanence des ressources est un mouvement vers le partage des richesses et la socialisation d’une partie de la production, des services publics. C’est un enjeu majeur. Les capitalistes et leurs caniches médiatiques peuvent raconter tous les bobards qu’ils veulent, restent une réalité incontournable : les richesses financières et la propriété privée (vivant, terres, services, biens matériels) se concentrent chaque année un peu plus dans les mains d’une oligarchie et les écarts de richesses n’ont jamais été aussi élevés, à l’échelle de l’humanité, que maintenant.

C’est une problématique contemporaine, et non pas une « vieillerie » contrairement à ce qu’affirment des officines libérales en pointe dans le démontage des positions des altermondialistes : nous serons bientôt 7 milliards et nous devrons coexister sur cette planète. Le bilan de Tony Blair, en Grande Bretagne, c’est 6 millions d’enfants vivant sous le seuil de pauvreté, bravo le « miracle libéral » tant acclamé par les médias... des capitalistes ! Nous sommes des militants anticapitalistes et anti-autoritaristes, et chaque jour qui passe nous NO PASARAN n°61 - sept. 2007 DOSSIER : LA PERMANENCE DES RESSOURCES Énoncer un principe : que tout le monde ait accès aux ressources nécessaires pour vivre : un logement de qualité, l’accès effectif au soin, une nourriture de qualité, l’accès aux « fluides » (énergies et communications), à l’éducation et la culture... Partant de ce principe, le collectif, le réseau qui se construit sur ces bases de solidarités choisit les moyens d’actions. Mais, restriction des moyens aidant, il s’agit bel et bien d’investir l’espace public à un moment donné, pour porter des revendications. Seulement, encore faut-il démontrer, pour rassurer, pour convaincre, qu’on peut s’organiser autrement nous-mêmes sur les bases d’une coopération égalitaire et d’une démocratie directe (prise des décisions collective). En d’autres termes, la permanence des ressources propose une dynamique qui peut permettre de lier les îles qui s’ignorent trop souvent dans le mouvement social : écologistes, syndicalistes, militants radicaux, humanitaires... Sans cette preuve par le fait, nous doutons fort que la population soit intéressée parce que nous proposons, ou alors ils iront voter mais rien après. On vit dans une époque très rationnelle, souvent au ras-des-pâquerettes, où il faut tout démontrer. On peut le regretter mais c’est comme ça, parfois il faut s’adapter pour pouvoir changer les choses. Permanence des ressources et mouvement des précaires La permanence des ressources nécessite que les personnes et collectifs bougent, afin qu’ils se fabriquent une permanence des ressources qui ait une portée collective, et pas seulement de débrouillardise individuelle. A Paris, on appelait ça des militants « sac à dos ». C’est à dire que ce sont des personnes qui le matin, s’organisent collectivement pour aller récupérer de la bouffe dans un marché, l’après-midi, qui demandent des aides sociales d’urgence en occupant une administration (CCAS) et qui le soir font une auto-réduction pour aller au cinéma ou qui vont voir des travailleurs précaires qui occupent un mac do. Evidemment, c’est un exemple extrême, dans une grande ville, pour des personnes à la fois militantes et très précaires au niveau des ressources. La permanence ne nécessite pas autant de dépenses d’énergies ; elle peut s’alterner avec des périodes de salariat ou de repos, etc. Mais l’idée est là : ne plus attendre que la gauche soit la gauche, ni rien des élections, mais prendre nous mêmes nos affaire en main  :
- en créant du collectif, des solidarités (les liens sociaux comme antidote à la précarité) : ils nous permettent de II tenir car on ne se bat plus que pour soi mais pour « nous » et ça jamais une entreprise capitaliste, basée sur la compétition entre les individus, ne l’offrira ;
- en occupant des lieux, des administrations, pour poser la question de l’urgence sociale (contre les radiations ANPE, pour des aides financières directes) ;
- en permettant une transversalité : la précarité traverse la société, cette lutte est donc un fort vecteur de convergence, qui nécessité des revendications communes (revenu garanti, logement...)  ; c’est ce qui permettra de reconstruire un front social commun, comme cela a été le cas en Amériques du Sud (Piqueteros en Argentine, sans-terre au Brésil…) ;
- en recomposant des identités politiques : le mouvement des chômeurs, précaires, intermittents a apporté du neuf aux niveaux des idées et des organisations : réseau May Day en Europe, nouveau modèle d’indemnisation de la CIP-IDF (intermittents), la question du revenu garanti (revue Multitudes, entre autre)... La limite est que les revendications posées ne fédèrent pas automatiquement, loin de là. Ces réseaux restent faibles, notamment à cause du manque de moyens mais aussi de faiblesses organisationnelles (isolement, manque de solidarité plus larges) ou assez souvent des conflits de territoire qui peuvent être dépassés, ou plus exactement, déplacés (voir article sur l’intelligence collective). Tout ceci n’est qu’une modalité de fonctionnement parmi d’autres, la permanence des ressources permet de faire des liens avec d’autres entités sociales et d’autres types de ressources comme les ressources créatives, culturelles ou cognitives (mémoire, mobilisation, affects) et les intelligences collectives qui dépasse largement le cadre des petits réseaux militants. Déconnecter les ressources de l’emploi L’une des idées force de la permanence des ressources est de déconnecter les ressources de l’emploi (tout comme du revenu garanti, qui est une revendication et non pas un mouvement). Le mouvement des intermittents affirme : à emploi discontinu, revenu continu. C’est à dire que chaque être humain produit toute sa vie, selon nous, et que le salaire d’un emploi ne peut être la mesure de cette production (thèse défendue dans l’article suivant). dialistes : nous serons bientôt 7 milliards et nous devrons coexister sur cette planète. Le bilan de Tony Blair, en Grande Bretagne, c’est 6 millions d’enfants vivant sous le seuil de pauvreté, bravo le « miracle libéral » tant acclamé par les médias... des capitalistes ! Nous sommes des militants anticapitalistes et anti-autoritaristes, et chaque jour qui passe nous démontre la justesse d’un combat qui est et restera celui de toute une génération qui s’est levée, et qui ne se couchera pas devant l’injustice et la folie de ce système. Plusieurs fois le mouvement est mort, parait-il, mais comme des millions d’autres personnes révoltées, en lutte, et solidaires de part le monde, nous sommes encore là, actifs et déterminés. Ce dossier veut apporter des propositions, des tournures d’esprit ou des analyses - de l’eau pour le moulin collectif.


Permanence des ressources

LORS DE LA DISCUSSION PRELIMINAIRE A L’ELABORATION...

Note de l’extracteur / rédacteur

Lors de la discussion préliminaire à l’élaboration du dossier, certains militants du réseau No Pasaran ont demandé que les exemples soient nombreux dans le texte, ceci afin d’en éclaircir les propos. Faisant appel à des notions comme le collectif, la mémoire, la question des territoires ou parfois la biologie, la permanence ne peut pas toujours être claire : on ne sait pas jusqu’où peut aller un collectif, pour paraphraser Spinoza, dans le sens où ses interactions sont (...)[Lire...]


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LA PRODUCTION SOCIALE AU-DELA DE L’EMPLOI

L’un des principaux axes de la permanence des ressources, tout comme du revenu garanti, c’est la déconnexion entre les ressources et l’emploi. C’est à dire que tout le monde doit avoir de quoi vivre correctement, sur tous les plans, avec ou sans emploi salarié. Et que ce droit est inaliénable, non soumis à l’arbitraire d’un Etat, ce qui suppose d’autres organisations sociales pour remplacer ce même Etat. C’est donc une rupture, vers une autre (...)[Lire...]


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LA FIN SE DÉDUIT DES MOYENS

Dans le raisonnement politique classique, on pose une revendication sur la table, puis on attend que les gens viennent. Cela ne marche plus, il faut changer d’optique. La permanence des ressources pose la question de l’organisation de la collectivité mais tente également de montrer en pratique les autres façons de s’organiser. Il s’agit d’un mouvement qui combine des solidarités actives et de nouvelles modalités organisationnelles avec des revendications dans (...)[Lire...]


Permanence des ressources

LA POSITION POLITIQUE PREMIERE

Le mouvement alternatif et radical a besoin d’une méthode non-excluante et évolutive pour dégager des priorités. Qu’on le veuille ou non, des problématiques s’imposent à nous (mondialisation, précarité, individualisme...). Comment y répondre ? Sans doute est-il nécessaire de se pencher sur des fondamentaux, une position politique première de laquelle se déduit, en grande partie, nos prises de positions. Des pistes : comment lier la liberté et l’égalité dans des (...)[Lire...]


Permanence des ressources

ENJEUX DU DISCERNEMENT DE LA PRODUCTION SOCIALE

1- montrer que l’activité humaine déborde largement de l’emploi : nous ne travaillons pas uniquement pendant notre éventuel travail salarié. 2- montrer que lors de l’occupation de notre emploi, nous devons travailler plus que ce qui est prescrit pour bien faire notre travail : un ouvrier ne se contente pas de répéter des gestes ; un prof de donner un cours magistral en répondant à quelques questions. D’autres liens et d’autres activités se jouent (organiser (...)[Lire...]


Permanence des ressources

BREVE ANALYSE DU CONTEXTE ACTUEL

Dans le magma relativiste ambiant, essayons de rendre lisibles quelques structures : * mondialisation : concurrence en flux tendu. Les entreprises et les investisseurs cherchent le moindre coût dans ce qui peut être réduit selon eux : les économies d’échelles (regrouper une production du même type > concentration et licenciements) et la baisse des salaires vers le « minimum possible » dans chaque pays. La phase actuelle implique aussi des transferts de technologie, par exemple dans (...)[Lire...]


Permanence des ressources

COOPERATION ET INTELLIGENCE COLLECTIVE

La permanence des ressources implique de dépasser le strict cadre individuel pour socialiser une partie de nos territoires, physiques et psychiques, afin de continuer notamment l’activité politique ou de mieux vivre. L’objectif de cet article est de tenter des trouver des solutions pour rendre les réseaux et collectifs plus efficaces. L’intérêt individuel qui prime sur le bien commun, voilà bien l’une des caractéristiques majeures de l’idéologie libérale. (...)[Lire...]


Permanence des ressources

L’EXIGENCE POLITIQUE

Si ce dossier fait le pari de l’optimisme et de l’offensive sociale (et libertaire, arf’) nous ne leurrons pas : il y encore très loin de la coupe aux lèvres. Les initiatives « écologiques » et culturelles sont souvent assez nombreuses, notamment dans les régions rurales ou semi-rurales, par contre on peut dire qu’au niveau de la conflictualité c’est en marais basse. Si des mouvements comme RESF et Don Quichotte défendent les sans papiers, les sans domicile, on (...)[Lire...]


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ENTRETIEN AVEC JOSY

Témoignage

Josy a participé à un collectif autonome de précaires en Corrèze, qui a été actif pendant et après le mouvement des chômeurs de l’hiver 1998. Au-delà de la question « échec ou réussite », cette lutte a-t-elle développé une forme de permanence des ressources ? No Pasaran : Peux-tu nous résumer ta vision et ta participation au mouvement des chômeurs ? Josy : Il fallait regrouper nos énergies pour contrer ce gouvernement (celui de Jospin) qui ne faisait rien pour les chômeurs et les (...)[Lire...]


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NOUVEAU MODELE D’INDEMNIASATION DES INTERMITENTS

Afin de remplacer la réforme calamiteuse des annexes 8 et 10 de l’assurance chômage, assurant leur indemnisation, un collectif d’intermittents et précaire en lutte (CIP-IDF) a élaboré un texte alternatif, proposant une indemnité tous qui ne soit pas inférieure au SMIC pour chacun. Ce projet a été discuté au sein d’une commission de l’Assemblée nationale sans pouvoir néanmoins être mise à l’ordre du jour en séance plénière de cette même assemblée. Mais la lutte (...)[Lire...]


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LES REVENDICATIONS SOCIALES : REVENU GARANTI ET GRATUITÉ

Voilà deux textes présentant des revendications sociales : le premier, sur le revenu garanti, est de Toni Negri (extrait de Exil, 1999, éd. Mille et une nuits), le second, sur la gratuité, est anonyme, issu de collectifs belges. À noter que ces revendications ont été déclinées de multiples façons par des acteurs sociaux ou théoriciens. Ainsi le revenu garanti s’appelle également « salaire garanti », « dividende social », « revenu d’existence », etc. Un dossier complet ne (...)[Lire...]


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COMMENT LA DROITE UTILISE LE CONCEPT DE REVENU GARANTI

Paru dans l’hebdomadaire conservateur allemand de référence Die Zeit le 12 avril de cette année, un dossier se penchait sur l’idée, un peu folle selon eux, d’un revenu de base, consenti par l’État à tous les citoyens, quel que soit leur âge, et non soumis à condition. En voici un extrait, édifiant. « Gotha, Hotel Lindenhof. La fondation Konrad-Adenauer reçoit. Thème du débat : « Le salaire solidaire citoyen », présenté par le ministre-président Althaus [1]. Le (...)[Lire...]


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MODALITES D’APPLICATION COLLECTIVES

Pour appliquer une permanence des ressources, nous avons besoin d’une carte élusive, c’est à dire qui ne soit pas forcément complète mais qui liste un minimum de ressources locales. Le paradoxe étant que les ressources existent, que ce soit des connaissances, des savoir-faire ou de la communication mais qu’elles ne sont pas ou trop peu efficientes. Des listes des ressources et motivations de son collectif Que sait faire et que veux faire chaque acteur d’un (...)[Lire...]


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WE JUST NEED ANOTHER METHOD ?

Il est beaucoup question de méthode dans ce dossier. La vie dépasse toujours la planification la mieux huilée par contre on a plutôt tendance à tomber dans l’excès inverse, le chaos total, comme si toutes les abeilles de la ruche étaient atteintes de la maladie de Parkinson... Sans doute faut-il un échafaudage minimum et donc une méthode, une mise à plat. Deux pistes : lister les initiatives locales, ce qu’elles font... évaluer en nombre d’heures ce que votre éventuel (...)[Lire...]


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LA PERMANENCE DE VOS RESSOURCES

Salariat, jeux, sport, télé « réalité », rapports interindividuels... On vit dans une société essentiellement basée sur la compétition entre individus. Il s’agit de se tailler un territoire malgré tout, et de le faire fructifier, en attendant la mort. Le dispositif pavillonnaire agit ainsi comme un puissant aimant : l’accès à la propriété individuelle puis l’entretien du cocon est une activité prégnante, le problème étant que les chenilles deviennent rarement papillons. (...)[Lire...]


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BIBLIOGRAPHIE (TRES) SELECTIVE

Sur le revenu garanti, le travail et les processus de production : • André Gorz, La métamorphose du travail, Folio essai • Y. Moulier-Boutang, Le capitalisme cognitif, Ed Amsterdam • Toni Negri, Marx au-delà de Marx, Ed L’Harmattant • Hardt et Negri, Empire, Ed. 10/18 • André Gorz, L’immatériel, connaissance, valeur et capital, éd. Galilée • la revue Multitudes tourne beaucoup autour des questions de production et de revenu garanti. Les (...)[Lire...]


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CRÉDITS

Extraction, rédaction : Raphaël Discussions préalables et apports : Corinne, Isa, Philippe, Raphaël et SB. Pour la permanence des ressources : les mêmes, Laurent, Jeanne, Eric, la commission alternative du réseau notamment Xavier,Thierry et Pierre. Merci à Gisèle, Lionel T., Nicolas et Bastien, sans vos pratiques la permanence ne serait pas la même.[Lire...]


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