Les autres articles :

• Présentation du réseau No Pasaran
• Histoire du réseau No Pasaran
• Notre anticapitalisme
• Notre antifascisme
• Notre antipatriarcat
• Notre lutte contre l’ordre sécuritaire
• Notre lutte sur l’immigration
• Notre écologie sociale et politique
• Contre-culture et alternatives
• D’autres luttes

Le journal No Pasaran

Une information libre doit être portée par des personnes n’ayant aucune dépendance vis-à-vis des pouvoirs en place. Si les sirènes du spectacle font œuvre de diversion, une partie croissante de la population cherche de plus en plus de sens à l’action politique en souhaitant être acteur et non plus spectateur. Parmi d’autres titres de la presse alternative, qui sont nos alliés et non pas nos concurrents, nous œuvrons pour une information qui traite des résistances et des alternatives menées à la base par les groupes et personnes qui souhaitent créer une nouvelle société qui lie la liberté et l’égalité, l’émancipation et la démocratie directe.

UNE OPTIQUE RÉVOLUTIONNAIRE, ÉMANCIPATRICE, ANTICAPITALISTE ET ANTIFASCISTE

Le mensuel No Pasaran retrace, accompagne ou précède les activités des groupes du réseau No Pasaran. Chaque mois, les thèmes qui nous sont chers (question sociale, antifascisme, antipatriarcat, luttes de l’immigration, alternatives autogérées et écologiques, contre-culture...) sont abordés dans nos pages, dans une perspective à la fois hexagonale et internationale. Chaque numéro est accompagné d’un dossier central sur un sujet particulier, le plus souvent relier à une lutte dans laquelle les groupes du Réseau sont actifs. No Pasaran est un mensuel autogéré : Les personnes sont mandatées sur des contenus définis en coordination, les dossiers sont issus de réflexions collectives, la réalisation technique est elle aussi socialisée... C’est un peu compliqué parfois, mais ça marche et permet de ne pas séparer la fin (une société égalitaire) des moyens (l’égalité dans la réalisation d’une revue). Ainsi, tous les membres du réseau No Pasaran s’expriment librement avec les mots qu’il/elle choisit, sans comité de rédaction qui raye en rouge ou réécrive... Nous écrivons souvent comme nous parlons : nous estimons que la libération du langage précède ou accompagne la libération de l’acte, en cela nous encourageons les personnes à écrire avec le niveau de langage qu’elles souhaitent. Dans nos pages, une RMIste qui parle de ses galères et des tentatives collectives pour en sortir peut côtoyer un « universitaire » qui emploiera des mots plus pointus ou complexes. Mais les objectifs sont les mêmes : renverser la société capitaliste.

SOUTENEZ, PARTICIPEZ

No Pasaran a paru pour la première fois en 1992 (il a connu 88 numéros avant septembre 2001, date de la nouvelle formule). Cette régularité ne doit pas cacher le fait qu’aujourd’hui, publier une revue sans pub à bas prix est difficile. Notre situation reste précaire, et nous avons besoin de votre soutien.

Vous pouvez :

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 diffuser vous-même le mensuel ;

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